Liberté pour Alexandr Koltchenko et Oleg Sentsov, activistes de Crimée, kidnappés et emprisonnés par l’Etat russe ! Poutine sera reçu en visite officielle par l’État français, mi-octobre. La venue du dictateur russe ne doit pas être banalisée.
Le 5 juin 2013 Clément Méric, syndicaliste étudiant et militant antifasciste, était tué par des militants du groupuscule d’extrême droite Troisième Voie.
Son assassinat s’inscrit dans une longue suite d’agressions de l’extrême droite pour des raisons de préférences sexuelles, d’origines ethniques, d’opinions politiques ou de croyances religieuses.
Le 10 Juin, l’Euro 2016 va démarrer à Saint-Denis …
Notre camarade Antoine, syndicaliste CGT à Valenciennes, est sous les verrous depuis son arrestation ciblée le 17 mai, à Lille où il manifestait contre la loi Travail. Lors de son procès le 9 juin il aura l’appui de centaines de pétitionnaires et de manifestants.
« Parce que nous n’avons rien oublié du sourire de notre camarade ni de ses combats, parce que nous n’avons rien pardonné de l’infamie des fascistes qui l’ont tué et du système qui les produit, parce que nous n’entendons pas laisser sa mémoire aux mains des juges et des journalistes à l’occasion du procès qui approche. »
Le Bataillon International de Libération du Rojava est une unité formée en 2015 par plusieurs groupes d’extrême gauche et regroupant les volontaires communistes, anarchistes et révolutionnaires venus défendre le Rojava dans l’esprit des Brigades Internationales de 1936. Pour soutenir ses combattant-e-s le Secours Rouge diffuse une large campagne de solidarité pour leur financer du matériel médical.
Un collectif composé de plus de trois cents universitaires, auteurs, artistes, militants syndicaux et associatifs, lance un appel pour dénoncer les violences policières et la répression sur les jeunes en constante augmentation depuis l’instauration de l’état d’urgence.
Après le succès de la mobilisation du 9 mars, l’appel des organisations de jeunesse à mobiliser le 17 mars pour le retrait définitif du projet de loi anti-Code du travail.
[carte interactive] Après le 29 janvier, et alors que se profile un vaste mouvement social portant la colère que cristallise le rejet de la « loi El Khomri », rendez-vous est donné le 12 mars pour porter le rejet de l’état d’urgence, du racisme d’état, et des prétextes impérialistes de l’état français. Un grand meeting se tiendra également à Paris le 10 mars.
Le 8 mars, c’est la journée internationale de luttes pour les droits des femmes du monde entier. Les luttes des femmes ont permis de conquérir des droits et de progresser vers l’égalité entre les femmes et les hommes. Ce 8 mars : Luttons, Faisons grève, Manifestons, Rassemblons nous, Menons ensemble des actions festives et symboliques !
A travers le projet de Loi Travail, le gouvernement vient de déclencher une offensive sans précédent contre les jeunes et les salarié.e.s. Nous, lycéen.ne.s, étudiant.e.s, jeunes chômeur.se.s, sommes déjà précaires pendant nos études et notre insertion professionnelle, il faudrait maintenant que nous acceptions d’être précaires à vie !
Une fois de plus, l’unique réponse qu’envisagent les pouvoirs publics face à la situation dans le Calaisis, c’est l’évacuation d’un camp de réfugiés, et leur dispersion. On feint de s’attaquer aux causes réelles du problème ; mais en réalité, en s’en prenant aux victimes condamnées à se disperser dans la peur, cette politique ne fait que le déplacer et l’aggraver. Cette « solution » n’en est pas une.
Le Collectif « ni guerres ni état de guerre » a adopté sa plateforme commune le 13 février. Un appel à signatures individuelles et d’organisations — associatives, politiques, syndicales — est lancé, Alternative libertaire l’a rejoint.
La situation misérable de l’immense bidonville surnommé « la jungle », près de Calais, est insupportable. Rompant avec la honte et l’invisibilité, les migrantes et migrants se sont montrés au grand jour. Près de 3000 personnes ont manifesté, accompagnées de leurs soutiens.
Le samedi 30 janvier 2016, on défilera dans toute la France contre la déchéance de nationalité, l’état d’urgence et la réforme constitutionnelle autoritaire orchestrés par le gouvernement PS… mais aussi contre l’action militaire de la France au Moyen-Orient.